Les cartons d’Aston Martin sont pleins de projets. Annoncée au printemps 2007 dès la reprise d’Aston Martin et un temps baptisée DBX, cette super Aston Martin, dont le nom officiel est désormais One-77, sera dévoilée cet automne, probablement au Mondial de l’automobile dans quelques semaines…
Cette super Aston n’est pas simplement une version body-buildée de la DBS, mais il s’agit d’un véhicule spécifique, doté d’une coque en fibre de carbone habillée d’une carrosserie en aluminium faite main. Au coeur de cet ensemble on découvre une évolution à 7 litres du V12, dont la puissance n’est pour l’heure pas connu, mais qui devrait avoisiner les 700 ch… Si l’on s’en tient aux rumeurs, on évoque un 0 à 100 en 3″5, une vitesse maxi de plus de 330 km/h et un prix supérieur à 450.000 €…La production sera limitée… à 77 exemplaires ?
Source : Aston Martin
Site : www.one-77.com
Face à une surproduction de vin sur les terres britanniques, une partie des excédents subit une transformation en biocarburant, ou agrocarburant, et dans ce cas précis en bioéthanol E100. Le Prince Charles a décidé de modifier son illustre Aston Martin pour pouvoir lui aussi rouler grâce à cette énergie. Prise de position symbolique affichée pour un respect accrû de l’environnement ?
Oh, ce n’est pas une révolution de palais visant à renverser sa reine de mère mais une modification de son Aston Martin DB6 cabriolet, cadeau offert par sa mère justement pour fêter son 21e anniversaire il y a trente-huit ans, au volant de laquelle le Prince Charles parcourt environ cinq cents kilomètres par an. L’organe six cylindres a donc été transformé afin de pouvoir fonctionner à l’E100.
La consommation chute de manière vertigineuse passant de plus de 20 litres au 100 kilomètres à, sympathique comparaison, environ quatre bouteilles par mile parcouru. A environ 1.10£ le litre (1.38€ environ) le bioéthanol affiche un prix de vente légèrement meilleur marché que le carburant traditionnel mais affiche près de 85% de rejets en moins. Ce petit geste n’aura évidemment aucun impact sur l’environnement mais il était toutefois à mettre en lumière. Conclusion ?Du rouge afin de mouvoir un véhicule de sang bleu pour une planète plus verte…
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Source : Thisislondon.
Si avant même la levée de rideau sur les allées du Palexpo à Genève vous étiez au point quant à bon nombre des modèles qui y seraient présentés, vous l’étiez aussi sur ce Mercedes GLK « mild hybrid » ou hybride léger. Attendu en 2010 en concession, il sera comme la S400 « mild hybrid » un des premiers véhicules de série au Monde doté de batteries Li-ion…
Ce GLK « Vision » Bluetec hybride léger est victime, ou plutôt bénéficiaire d’un bon downsizing puisqu’ici doté d’un moteur 2,2L Cdi 4 cylindres qui couplé au petit moteur électrique culmine à 224ch.
Ses émissions de CO2 ne s’en sortent que mieux à 157 g/km et une consommation annoncée de 5,9L aux 100 km.
Le voici donc en vrai au salon de Genève où il est présenté pour la première fois, même si dans son cas ce n’est pas tant sa carrosserie que sa mécanique invisible pour l’instant, qui nous intéresse…
Source : Mercedes
Crédit photo : Frédéric Papkoff
Un châssis repris de la V8 Vantage rigidifié, optimisé et modifié pour accueillir un majestueux V12 issu de la reine du Mans DBR9. 600 chevaux, presque 700 Nm et 1600 kg, ce sont les chiffres clé de cette super-aston qui n’ont de toute façon que peu d’importance à coté de sa beauté brutale et de la sonorité sûrement incroyable qu’elle devrait offrir quand on sait à quel point le V12 de la DBR9 est un régal pour les oreilles.
La beauté de cette V12 Vantage est à l’image du pedigree de sa mécanique. Je ne saurais trop quoi dire tant je trouve sa ligne parfaite. Et vous? Suis-je le seul à rester sans voix devant cette V12 Vantage RS?
Vous reprendrez bien un peu de chevaux sous le capot ? Allez remettez en moi une petite rasade. Mais attention point d’abus. Aston Martin offrira prochainement 20 chevaux de plus au généreux moteur de sa supercar DB9.
Le moteur V12 6 litres de l’Aston Martin DB9 verra ainis sa puissance passer de 450 à 470 chevaux à 6000tr/min pendant que son couple prendra également un surplus de 30Nm à 600Nm pour 5000tr/min. Exit l’ancienne vitesse maximale. Désormais la DB9 atteint allègrement les 306km/h. Pour mieux appréhendrer la route, les ingénieurs ont pensé à modifier la supercar en la dotant aussi de quatre nouveaux armotisseurs Bilstein couplés à des cales plus fermes.
Gain chronométrique également avec un dixième de seconde en moins dans le temps de réaction de la boite de vitesses Touchtronic. Les modifications ne s’arrêtent pas en si bon chemin avec de nouvelles jantes de 19′’, des rétros au design revu et corrigé ou encore des panneaux de carrosserie restructurés et, hop, 10% de rigidité supplémentaire. Comblé ?
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Source : Aston Martin.